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Orson Scott, Card 
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Le vrai nom de Dieu est Jason Valois. Et le jour ou les anges sont partis, jour qui restera celui de la Douleur, ce jour-la Jason Valois est revenu aux cotes de Justice...
Ce que j'en pense: ce n'est certes pas le meilleur Orson Scott Card, mais les personnages sont toujours aussi riches et les dialogues toujours aussi efficaces.
Le theme qui est aborde ici est la perspective d'un monde sans douleur a mi-chemin entre un monde reve pour ceux qui voudraient revenir aux anciennes valeurs «naturelles», et un Meilleur des Mondes d'Aldous Huxley. Un monde sans avenir, s'il ne goute au fruit de la connaissance du Bien et du Mal, et apprenne la douleur.
La douleur est necessaire pour donner un sens a l'existence, et affronter sa propre independance.
Comme toujours, Card fait appel a des themes d'inspiration mystique pour apporter une reflexion sur la societe, souvent originale.
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Denis Bredelet
(première critique)
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Genre : Science fiction et Fantaisie
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avant 2001
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